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Ce matin je suis partie explorer les rues, observer les gens, prendre l’air sur la plage. Il y a une espèce d’agitation permanente, une véritable ébullition, des gens en mouvement partout et tout le temps, mais le tout évolue au ralenti, dans une atmosphère ouatée et cotonneuse. Les gens ne se regardent pas dans les yeux mais exhibent leur corps dès qu’on se trouve à une cinquantaine de mètres de la plage. Les rues sont bordées de grands arbres exotiques et ça y est, ici, mille odeurs assaillent les narines non averties : nourriture, friture, urine, fruits, métal chaud, etc.
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